Arrivée

Moribald avait ignorer la menace...il le regreterai surement en fin de soirée...depuis maintenant bien longtemps gavroche ne se laissait pas dicter sa condutie par ses pulsions...sans compter que moribald était un adversaire de taille (et de poids) même si lui même n'était pas si mauvais. Il était probable qu'en fin de soirée moribald serait totalement plein...c'est cetinstant que gavroche attendait à présent.
Il se tourna vers temudjin (qu'il avait failli embrocher soit dit en passant, lorsqu'il avait été surpris dans le dos)...

Heureux de te revoir grand "khan"...

Le début semblait sincère mais l'ironie dans la fin de son intervention était palpable...et c'était bien son intention....

Beaucoup moins rutilante qu’à l’ordinaire, la Flânerie passait en plein milieu de cette petite sauterie organisée, certain de ses membres étaient portés sur des brancards de fortunes.

S’adresse à Gala :

Salut vous !
Finalement j’ai suivi vos traces, faut dire que vous n’êtes pas du genre discret ! Enfin… Moi je vais poser mon campement prés de votre petite ville, dans le sable chaud.

En notant la présence de brancard gavroche se rapella sa fonction première chez les khazars...médecin de campagne.

Il s'approcha des brancards et interpella Pistache:

Bonjour, je vous averti d'avance je ne fais pas de miracles avec les baveux, mais si vous avez des blessés encore conscient je pourrais peut être les soulagé...
il tourna son regard vers les brancards...

Bien le bonjour mon garçon. Oh tu sais, il y a que des baveux comme tu dis, et c’est bien vrai ça, le miracle existe pas pour cette maladie, on peut rien y faire, il y a que la mort qui les guéris.

Moi je me nomme Pistache, de la famille Moustache, je suis infirmière ainsi que brasseuse pour les jours de fêtes, je sais aussi faire pousser le raison rouge de cette planète.

Et toi petit gars ? T’es qui au juste ?

Alors que Gala, Collision et Melina profitaient des retrouvailles avec les individus du crus, Béat arriva enfin, chargé comme un mulet et soufflant comme un boeuf.
Il se déplaçait avec sa hallebarde en travers des épaules, plusieurs bagages pendant aux extrémités de son arme de fonction, qui pour l'heure accusait une courbure bien représentative de la charge.
Arrivé à hauteur du regroupement de personnes, le garde suisse evacua les sacs sans beaucoup de ménagement, et apostropha ses compagnes de randonnée.

PFFFFFF, oh, les g...demoiselles, z'êtes priés de récupérer vos effets personnels, le room-service c'est terminé!

Avisant le monde réunis sur la place de Samarcande, venant d'horizons biens diverses, Béat se réjouit à la perspective de tous ces touristes solvables. Il décida de reprendre ses fonctions et planta fièrement sa hallebarde dans le sol meuble. Cela pouvait clairement être diagnostiqué comme réflexe associé à la représentation phallique de la part d'une jeune personne de l'assistance, qui se prétendait psychanalyste.
L'helvétique débuta ensuite une série de génuflexions, afin de reprendre un peu de souplesse et de contenance. Il put alors récupérer sa hallebarde, s'écarter à une distance réglementaire, déposer un contenant au sol et prendre une pose comme il savait si bien le faire lorsqu'il exerçait dans l'enceinte du Vatican.
Par contre, les minutes défilèrent sans qu'aucun geste ne vint du côté de l'assistance, la machoire de Béat se crispait sur un sourire qui était en réalité feint.

.... 'utain, vous 'e 'rennez ce cli'hé, ou 'ien! Ou'liez 'as la 'etite 'ièce...
DEDIEU, marre, j'arrête, c'est pas possible d'être aussi pingre, vous avez bien une fonction photo sur vos pods et des devises dans les poches, qu'est-ce-qui vous retient!
Plusque c'est ça, pas la peine de me demander un service spécieux dans l'avenir, le corps-franc des armées pontificales est en grève de zèle jusqu'à nouvel ordre. Et je ne cèderai pas... à moins qu'on me refile des bons de réduction pour de la lessive, j'ai des couleurs à rattraper.

Après l'arrivée de Béat, Gala arriva une main dans la poche et de l'autre tenait une lance métallique. Un petit sourire en coin s'affichait alors que leur "garde du corps" déposait leurs valises soigneusement.

Gentiment, elle remercia Béat.

-Oh merci beaucoup mon cher Béat. Sans toi, je ne sais ce que l'on serait devenu, tu as épargné les ongles de la pauvre Mél' et j'avoue être assez en forme pour participer à la forme. Je sais que l'on peut compter sur toi. Comme quoi les suisses, faut toujours leur faire confiance.

Puis voyant Pistache plus loin, un sourire plus radieux s'affiche alors que la petite peste lui saute dessus.

-Pist', ça fait du bien de te revoir. Parait qu'il y a du monde en moins chez vous, mais t'as l'air en superforme. C'est super, NéoJérusalem était trop lugubre sans nous ? On te manquait ??? Les garçons râlent, mais on nous adore quand même hein ?

Au bout d'un moment, Béat réalise qu'il vient de pénétrer dans le regroupement de tentes nomades, en laissant une impression d'être un individu quelque peu caractériel. Il prend conscience qu'il s'était préalablement juré d'afficher le plus possible une humeur courtoise, avec les gens qu'il croiserait sur ce caillou. Car il n'avait décemment pas de raison de monter sur ses grands chevaux ici-bas, pas un seul vêtement de couleur incarnat, digne d'attiser sa fureur, n'était présent sur la surface de cette planète vierge de tout cardinal.
Le garde suisse décida de laisser percer-à-jour son côté taquin, car il était toujours partisan d'un peu de gaudriole et de facétie en ces temps de fête et de commémoration. Il avait en plus une cible toute désignée, du fait de l'acclamation de sa cadette vis-à-vis d'une des personnes invitées à ce Rasssemblement Khazar, le prénom de celle-ci ayant frappé ses oreilles. Béat se dirigea vers elle en pointant négligeamment son index en sa direction.

Salut, il semble que tu te nommes Pistache, je tiens juste à te dire que t'as une tâ......
Un prémice de sourire sur les lèvres, Béat se trouve assez prêt de la victime de sa subtile farce, et il remarque alors le regard de celle-ci. Il peut instantanément saisir qu'elle en a vu d'autres, et qu'elle a su faire face de manière courtoise à ce genre d'attention, même si des doigts furent déboités pour l'occasion. Il jugea rapidement préférable de s'abstenir, et de trouver un sujet moins polémique.

...Oui, non, il se trouve que je n'ai pu m'empêcher de remarquer ton très distingué ornement labial. Je me demandais si c'était un postiche ou bien?
...Quoique, je crois que j'ai pas tellement envie de connaître la réponse, pour peu que la réponse soit négative, je vais commencer à avoir des doutes sur ta pilosité, l'entretien des aisselles et le reste, et fatidiquement je vais encore me sentir entouré de Germains. Y'a dû avoir une opération de colonisation sponsorisée par Deutsch Gramophon, c'est pas possible autrement.
Euh... il fait particulièrement soif, je vais plutot vous laisser vous entretenir sur ces histoires de NéoJérusalem tranquillement, je vais voir si y'a un stand de boisson.

Gabrielle s'approcha du feu de camp. Ses lèvres légèrement bleuies par le froid esquissaient un sourire, tandis que ses mains tentaient de faire tomber la terre qui ornait ses genoux (... le résultat d'une surveillance discrète des agissements de Temudjin et Saya...). Elle écouta à peine les propos de Beat qui, comme à son habitude, parlait sans discontinuer

'jour tout le monde! Il fait un peu frisquet non? Il n'y aurait pas quelque chose de chaud à se mettre sous la dent?

_Oh oh ! T’es coquine ma petite Gala, je suis certaine que tu me dis ça pour me flatter ! Si tu savais pour Néo-Jérusalem… Une vraie ruine. Ca empeste la bidoche, si tu vois ou je veux en venir…
J’ai sauvé ce que je pouvais moi.

Penche son regard vers les brancards

Enfin… Comme tu vois ça nous rattrape…
Bon, et bien si je veux dormir sous un toit il va falloir que je m’y mette moi, et pas qu’un peu. Je vous laisse, on va se revoir.

La Flânerie on y va !
La petite troupe s'éloigne de Samarcande, dans le silence du soir.

En attendant les derniers arrivant, Temudjin continuait de parcourir les tentes et rencontrer les différents colons..

Temudjin avait but avec Mori son satané breuvage qui vous réchauffait le coeur, pris plaisir à discuter avec le jeune Gavroche toujours plein de malice, dit deux trois mots à Beat qui s’emmêlé comme à l’accoutumé dans sa panoplie et ses longs discours, il avait a peine eu le tmeps de parler a Pistache, mais esperait pouvoir le retrouver plus tard… il s’approcha alors du groupe de Gala et de Collision ..

Alors comment vont les demoiselles, en pleine forme après tous ses voyages périples ?
Levant sa bouteille,
Salut à toi Collision Au faite mes félicitations pour votre mariage à toit et Melina, c’est le deuxième qui fut fêté à Vrillsland ! Dommage que je n’ai pus y assister. Mais rien n’empêche de refaire la fête ici
Et comment va la princesse du désert ? En forme Gala ? Tu as trouvé un nouveau souffre douleur dans ce pauvre Béat ? **sourire** Essai de ne pas trop l’abîmer hmm