"made in Vrillsland"

Nitneuc était tranquillement occupé à rêvasser lorsque la voix empreinte d'autorité de Temudjin le ramena brusquement à la réalité.

- Ah Nitneuc, tu tombes bien... C'est bien toi qui déplorais de n'avoir fait que puiser depuis ton arrivée n'est-ce pas ? Tu vois ces longues branches que Krasis a ramené hier ?
- Euh... oui...
- Tu vas nous en faire quelque chose d'exploitable pour équiper nos forces de défense.
- Euh, je veux bien moi mais...
Il n'eut pas le loisir de terminer sa phrase
- Tsss, je reviendrai voir tout à l'heure ce que tu as pu en tirer, au travail et tout de suite !
Temudjin s'éloigna, laissant le jeune chimiste seul avec ses branches.

Bon, puisqu'il le faut...
Il commenca par aller voir Roye pour lui emprunter son couteau, ce n'était l'affaire que de quelques heures et ce dernier accepta le prêt sans broncher. Equipé de la sorte, il se rendit sous le petit abri qui venait juste d'être construit, il était inexploité et constituerait un bon atelier en attendant mieux.
Une fois installé à son aise, Nitneuc entreprit de tailler en pointe l'une des branches qu'il avait amené, une pointe pyramidale à quatre faces qui donnait l'impression de pouvoir transpercer un Vrill ! Il n'était pas peu fier de son ouvrage et sorti en courant, la lance à la main pour la présenter aux autres.

HO HEY, tout le mon...

La phrase s'arrêta subitement, le jeune homme avait trébuché sur une pierre. Dans un mouvement de réflexe, il tenta de se rattraper à l'aide de l'épieu qui céda lamentablement sous son poids dans un craquement de bois mort !

Bordel de merde...

Les jurons n'étaient pas courants chez ce timide incurable, aussi devait il être passablement énervé dans l'instant pour se permettre cet écart de vocabulaire.
Il retourna dans sa tente de fortune, aussi vexé que furieux, Temudjin attendrait demain, plus question de faire le moindre effort aujourd'hui. La tension du moment attendrait la nuit pour retomber.

Le lendemain matin

Aprés un petit déjeuner essentiellement composé de cookies (délicieux soit-dit en passant) Nitneuc retourna dans son atelier de fortune, disposé à faire oublier le lamentable raté de la veille. Temudjin n'avait pas souhaîté en rajouter voyant qu'il était inutile de jeter de l'huile sur le feu et Roye ne s'était pas encore manifesté pour récupérer son couteau. Tout allait pour le mieux.

Il choisit dans le lot la branche la plus droite et d'apparence la plus solide qu'il put trouver. A nouveau il la tailla en pointe, pointe peut-être même mieux réussie que la dernière fois, le savoir faire commencait déjà à rentrer. Muni de son baton pointu, il se rendit au feu de camp que la communauté entretenait religieusement, à l'instar des peuplades préhistoriques. Tout le monde avait appris étant jeune, dans des manuels d'histoire, que les anciens avaient recours au feu pour durcir les pointes de leurs épieux. Nitneuc s'en souvenait, comme de toutes les choses qu'il avait appris au cours de sa vie, une mémoire comme la sienne était un vrai don du ciel et cela se vérifiait à nouveau aujourd'hui.

Il sorti la pointe noircie par les flammes avant que celles-ci ne s'embrase complétement et contempla son ouvrage avec une réelle satisfaction.
Avant de la porter à Temudjin pour lui présenter, il tint à y ajouter une dernière toute personnelle, gravée à la pointe du couteau :

made in Vrillsland

Le geste le fit sourire mais aprés tout, ne s'agissait-il pas du premier objet manufacturé issu de la communauté ?

Julesdep qui avait enfin décidé d'arréter son exile dans l'enclos passat de Nitneuc. Le jeune homme avait dans les mains une branche et un couteau.
Jules se disait que si il fesait ça ce n'était pas par amusement... Il voyait Nitneuc comme quelqun de très serieux. Il décida alors d'observer Nitneuc quelques instant pour savoir ce qu'il fesait.
Il comprit au bout d'un moment que Nitneuc fabriquait une lance et il avait l'air de faire ça plutot bien.

Coucou Nitneuc!!
Cette approche très familière suprit un peu le jeune garçon qui était d'un naturel timide.

Alors comme ça tu fabriques des lances!
Sa me plairai bien ça... Mais bon avec mes cotes bléssés je sais pas si j'y arriverai...(hrp: 2 en artisanat).
Bon ba je vais pas te déranger plus longtemps. Ciao.

Commence à partir puis se retourne:
Au fait tu as déja fais ça avant?? (hrp: Tu as combient en artisanat?)

Oh, salut.
Euh... en fait je découvre tout ça, j'avoue ne jamais avoir eu besoin d'en fabriquer sur terre pour me protéger des pillards.
Il eut un vague sourire désolé.

Je te remercie mais je ne pense pas avoir besoin d'aide. Je ne pense pas qu'il y ait assez à faire pour mobiliser deux personnes.

A la vérité Nitneuc craignait surtout de rester seul avec Julesdep dans un endroit clos et isolé.

(hrp : 5.2 en artisanat)

La dernière lune Temudjin avait entendu l’artisan poussant des jurons et se doutait que le résultat n’avait pas était a la hauteurs de ses espérances et il n’avait donc pas insisté.. les débuts sont parfois difficiles… mais cette fois ils espérait bien que ca ne serait pas un nouvel échec…

Il décida dont d’aller visiter Nitneuc dans le nouvel atelier.. sur le chemin il rencontra ce dernier qui discutait avec Julesdep enfin sorti de son enclos

Alors ces lances !….

Nitneuc lui tendis la lance qu’il tenait religieusementa deux mains, plissant les yeux temudjin pris la lance qu’il soupesa, il évalua ensuite son point d’équilibre… et vérifia les pointes durcie au feu….

Hmmmf, pas mal du tout pour un début…. faudra encor améliore le point d’équilibre elle doit pouvoir se prendre a ce niveau montrant à Nitneuc ou celui-ci devait se trouver.. par contre les pointes semblent solides… du beau travail **sourire** ….
Et les autres lances ? Nitneuc fit un geste évoquant Cassés ! hmmf d’accord ca peut arriver, mais attention a ne pas gâcher la matière 1ère, on a pas tant de matériel que ca sous la main….

A la tête de Nitneuc il se dit qu’il y été peut être allé un peut fort, mais la vie ne ferait pas de cadeaux aux incompétents sur cette planète, les Khazars devaient avoir des troupes d’élites que se soit pour combattre ou manier un marteau…. Il fallait cependant aussi profiter de cet événement pour faire la fête

Bientôt tous les Khazars membre du clan seront équipés d’une lance ! Nous allons fêter cet événement !

Puis sous le regard envieux de Julesdep, il reparti ver la grande tente avec la lance la faisant tournoyer doucement un grand sourire aux lèvres

Plus de trois mois aprés ses débuts laborieux en tant qu'armurier, Nitneuc avait pris le coup de main. Il savait désormais sélectionner les meilleurs bois parmis ceux que le groupe de Krasis entreposait, était capable d'évaluer de façon optimale le temps d'exposition de la pointe, assez pour que le flammage s'avère efficace, pas trop pour ne pas brûler le bois... Les épieux made in VrillsLand avaient finalement atteint un niveau de qualité appréciable.

Un matin, Grosoeil le peau-rouge vint le trouver, lui annoncant qu'une nouvelle venue viendrait désormais l'assister dans son travail. A contrecoeur le jeune homme se résigna, il avait déja refusé de l'aide par le passé, mais maintenant que la demande augmentait, il savait pertinemment que son travail seul ne suffirait plus désormais.

- C'est la petite Stellie qui est arrivée il y a deux jours. Je te laisse t'en occuper. L'indien s'était montré trés concis comme à son habitude.
- Ok, répondit simplement Nitneuc sachant qu'il n'avait de toutes manières pas le choix.
- Elle est quelque part dehors, retrouve là et mettez vous au boulot. Grosoeil tourna alors les talons et repartit vaquer à ses occupations.

Le chimiste de VrillsLand se lança donc à la recherche de Stellie, l'artiste peintre nouvellement arrivée. Pour le peu qu'il en savait, c'était une jeune fille d'une extraordinaire timidité, à croire que tout avait été fait pour rassembler les deux personnalités les plus coincées de la communauté... Ca leur faisait au moins un point commun.
Ayant fait le tour des personnes, il ne trouva aucune trace d'elle. En désespoir de cause il revint seul dans sa cabane de tôle qu'il appellait pompeusement "l'atelier". C'est alors qu'aprés l'avoir cherché partout ailleurs il se retrouva face à elle en cet endroit même...
- Oh... euh... bonjour, tu étais là, il paraît qu'on va travailler ensemble ici...
La jeune fille rougit, dans ces conditions on aurait presque pu la prendre pour la petite soeur de Grosoeil ; s'il n'y avait ces cheveux blonds.
- Euh oui, on m'a demandé de venir aider ici... *elle rougit de plus belle*, vous ne serez pas décu... j'aime beaucoup utiliser mes mains.
Nitneuc chassa aussitôt une pensée peu avouable de son esprit.
- Ah bon, et bien... c'est vrai qu'il y a de quoi faire ici. Je vais t'expliquer comment je m'y prend...
Il lui montra les quelques gestes élémentaires à la fabrication, tandis qu'elle l'écoutait patiemment, approuvant par quelques hochements de têtes sporadiques. C'était pour Nitneuc une trés bonne chose que d'être tombée sur une collaboratrice au moins aussi renfermée que lui. Il se révelait un peu plus assuré et en confiance qu'à l'accoutumée, ce qui n'était pas peu dire quand on savait à quel point il perdait facilement ses moyens.
- Voilà, c'est à peu prés tout dit-il pour conclure son explication.

Elle s'approcha alors de lui, trés prés, trop prés... Il voulut reculer en vain, il était déja dos à la tole. Stellie posa alors une main sur son torse avant de lui chuchoter à l'oreille :
- Et est-ce qu'en attendant on pourrait...
Inutile de finir la phrase, même un niais comme Nitneuc avait compris de quoi il s'agissait...
Il bafouilla difficilement quelques mots encore sous le coup de la stupéfaction :
- C'est que... je... enfin...
Finalement il s'extirpa et sortit de l'atelier en se justifiant d'une banalité.
- Je regrette... euh... j'ai des euh... choses à faire.

Il marcha dans la zone de VrillsLand sans réellement se soucier de où il allait. Encore sous le coup de la surprise et du trouble de la situation mais non moins excité par cette dernière il se demandait confusément comment il avait pu se méprendre dans son jugement au point de prendre l'entreprenante et trés séduisante Stellie pour une tranquille timide maladive ?


(HRP : Mon perso est un gros naze et je l'assume )

Stellie était desespérée, elle avait tout fait comme il fallait pour seduire ce charmant garcon. Mais celui ci l'avait fui comme une grave maladie

Decidement elle devait être tres laide et tres nulle...

Alors elle se blottit dans un coin de l'atellier et pleura toute les larmes de son corps en oubliant de faire les lances.

Elle decida de ne plus draguer d'hommes et qu'elle resterait vierge le restant de sa vie, même si sa curiosité la poussait à defois etre trop entreprenante, c'est que stellie voulait savoir pourquoi on faisait tant de mystère autour de ca ...

La nuit tombait et personne ne venait, personne ne la cherchait quelle idée...

Le lendemain

Nitneuc et Stellie s'étaient de nouveau retrouvés dans l'atelier, lui encore sous le coup de la gêne des évenements de la veille, elle visiblement mi-fâchée, mi-triste pour les même raisons.

- Tu m'as fait pleurer toute la nuit, lui reprocha t-elle finalement aprés un moment de silence qui lui avait semblé interminable.
- C'est que je... enfin... je suis désolé... bafouilla t-il confus.
- Je voulais juste avoir des amis pleura t-elle ensuite, Collie m'a expliqué qu'en abordant les gens ainsi ils le deviendraient rapidement, et puis... il paraît qu'on voit des étoiles quand on fait l'amour...

Le jeune homme ne s'attendait pas à une réponse de ce type, tout devenait plus clair à présent. Evidemment, avec de telles fréquentations la pauvre risquait sérieusement de voir son éducation et sa conception des rapports humains complétement faussée. D'autant plus que comme il l'apprendrait plus tard, Stellie souffrait d'amnésie lacunaire, pas facile dans ces conditions de parvenir à faire la part des choses. A la fois soulagé et attendri par ces dernières révélations, Nitneuc reprit la conversation de façon plus assurée, il comprenait mieux le pourquoi du comment de la veille. Il envisagea donc de remettre les choses à plat avec la jeune fille, histoire de repartir sur des bases saines. Aprés tout, n'étaient-ils pas appellés à travailler ensemble désormais ?
Ainsi ils discutèrent tous deux pendant un long moment sur les sujets à revoir d'urgence en particulier la nuance entre amis et petit ami, la nécessité de ne pas se ruer sur le premier homme venu pour "voir des étoiles" avec lui... de la façon par laquelle on reconnait la bonne personne... Le tout entrecoupé de quelques rires pour détendre un peu l'atmosphère.

A un moment de la conversation, Stellie vint se blottir dans les bras de Nitneuc, contrairement à la veille, ce dernier ne fit rien pour la repousser. Il resta immobile, puis elle déposa un baiser sur ses lèvres, furtif. Puis un second, beaucoup plus intense et fougueux celui là. L'un comme l'autre semblaient apprécier à en juger par l'accélération de leur rythme cardiaque, ils ne se privèrent donc pas de recommencer et à faire de même pour le cou, les oreilles... c'était une expérience trés agréable... Ils en restèrent à ce stade, pas question d'aller plus loin et de profiter de la situation pour le jeune chimiste, même si l'excitation du moment allait crescendo. D'une part il refusait de profiter de l'apparente vulnérabilité de la jeune fille, rester courtois et gentleman avant tout (ou gros naze c'est selon ^_^), et d'autre part lui même ne se sentait pas prés vivre sa première expérience comme cela (NDA : Il faut rappeller que Nit' est un malade de la foule, ce qui a fortement limité sa vie sociale), il fallait avant tout laisser le temps au temps.

Ils restèrent malgré tout encore un peu de temps ensemble, discutant seuls dans l'atelier, enlacés, s'embrassant au gré de leurs envie. Nitneuc avait l'impression que des décharges électriques parcouraient son corps à chaque fois que ses mains effleuraient la peau de sa compagne qui s'était entre temps à moitié dévétue. (ils allèrent donc se coucher histoire qu'il ne soit pas trop tenté de passer outre sa résolution ), compagne car à la fin de la soirée, c'était bien de ça qu'il s'agissait, les deux caractères les moins affirmés de la bande formaient ensemble l'un des nouveaux couples de VrillsLand.

Avertissement :

Quelques jours plus tard...

La relation unissant les deux tourtereaux était désormais chose connue à VrillsLand. Aprés quelques prises de bec entre Mélina - la harpie - et Stellie tout était plus ou moins rentré dans l'ordre, chacune ayant accepté de mettre de l'eau dans son vin pour calmer la situation, laissant le jeune couple libre de consommer leur union.
La complicité allait croissante, peu à peu, ils vivaient ensemble, travaillaient ensemble, dormaient ensemble (mais rien de plus pour le moment ), ne se quittant jamais longtemps et toujours à regret. Deux authentiques amoureux....

Le soir venu, une fois le travail de la journée accompli, Stellie en vint au hasard d'une conversation à se lamenter du manque d'occupations possibles dans la communauté. En un sens elle n'avait pas totalement tord... mis à part le travail qui les occupait tous une bonne partie de la journée il ne se passait jamais grand chose ici. On ne pouvait pas qualifier une existence sur Pandora de "distrayante" et ce n'était pas les quelques jeux vidéo obsolètes accessibles sur leurs pods, ou encore les cartes à jouer qui contrediraient cet état de fait. La terre et sa profusion de centres d'intérêts étaient loins... même si pour rien au monde le jeune homme n'aurait accepté un voyage retour.
A la remarque de Stellie, Nitneuc sourit gentiment, il croyait avoir deviné la pensée de sa compagne - à moins qu'il ne s'en fut persuadé lui même ? - et l'idée le séduisait également.

- Et bien... Il y a bien quelque chose qu'on pourrait faire... lui dit-il finalement.
- Ah ? répondit-elle innocemment, et quoi donc ?.

Sans même lui répondre, il l'attira contre lui et l'entraina vers les matelas de fortune qui leur servaient de lit. Ils s'allongèrent dessus, toujours fermement enlacés l'un contre l'autre, s'embrassant langouresement, comme le ferait un couple hollywoodien sur grand écran...
Un esprit cartésien comme celui de Nitneuc fonctionnait essentielement par étapes, la seconde consistait à débarrasser sa partenaire de ses vêtement "excédentaires". Meilleur dans la théorie que dans la pratique, il y parvint par quelques gestes mal ajustés. Le contact de sa peau titilla encore un peu plus ses hormones mâles. A son tour il ôta son pantalon et son tee-shirt, découvrant sa musculature sèche et striée de coureur de fond. Stellie qui semblait pour le moment appécier la chose, sembla s'intéresser à la nette protubérance présente au niveau du bas ventre de son compagnon... Elle plongea la main dans son caleçon, curieuse. Faisant glisser ses doigts en cadence sur son nouveau jouet, visiblement enthousiaste de l'effet produit par ces derniers sur le volume de l'organe en question ainsi que - bien entendu - sur son propriétaire...

- C'est... doux, lui dit-elle sans interrompre le mouvement, mais ça ne va pas ? Tu as une mine toute bizarre... ajouta t-elle inquiète.
- Euh... non c'est bon, au contraire, tout va... bien. répondit-il en articulant difficilement.
- Ah bon, termina t-elle en reprenant son ton jovial.

Sur ces paroles il l'interrompit, sans quoi dans ces conditions leur première expérience de couple risquait fort de tourner court... il valait mieux pour lui laisser redescendre la pression un temps. Aprés une profonde inspiration, il reprit le dessus. Allongé face à face avec Stellie, c'était à présent à lui de montrer que ses mains pouvaient servir également. laissant couler lentement sa main droite encore tremblante le long du buste de la jeune fille, il l'arrêta parvenu à son entrejambe puis l'introduisit dans sa culotte, commencant ses caresses intîmes. D'abord surprise, elle ne tarda pas à éprouver un début de sensation de plaisir à en juger par la nature de ses premiers gémissements... mis en confiance, le jeune homme continua, savourant lui aussi - non sans une ébauche de fierté - ce premier contact avec le sexe (au sens propre du terme ) féminin.

Encore... continue...

Ces paroles étaient autant d'encouragements... galavanisé, Nitneuc entreprit de passer à l'étape supérieure, il laissa courir sa langue sur les seins de Stellie, puis comme pour ses doigts l'instant précédent, la laissa descendre d'un étage...
L'effet fut cette fois instantanné, les gémissements et les supplications redoublèrent d'intensité et s'amplifièrent, le corps de la jeune fille commença à se trémousser sur place, traversé par des spasmes intermittents... ses yeux étaient clos, elle semblait déja dans un autre monde. Prolongeant ses caresses buccale pendant un temps encore, Nitneuc décida enfin que le moment était opportun, arrêtant ses actions il remonta à hauteur du visage de Stellie qui rouvrit les yeux. Gauchement bien que plein de bonne volonté, il commenca à la pénétrer, son regard fixé dans le sien, le mouvement commença, lent et certainement mal assuré. les petits cris étouffés reprirent néanmoins de plus belle, la belle ne semblait pas souffrir de l'inexpérience de son amant au grand soulagement de celui-çi. L'acte fût rapide mais cela n'empêcha en rien la jolie blonde déjà chauffée à blanc de crier son plaisir (sans la moindre considération pour les éventuels voisins) peu avant que Nitneuc n'atteigne à son tour l'orgasme, éjaculant si fort qu'il crût un instant sentir ses tympans exploser...
Il se retirat, vidé, dans tous les sens du terme, mais avec ce sentiment de plénitude, si propre aux amoureux. L'esprit encore ailleurs, il regarda sa compagne avec des yeux qui en disaient plus long que n'importe quelles paroles. Elle lui rendit son regard et retourna se blottir pour contre lui pour ne pas attraper froid.

Quinze minute plus tard, il ne pensait à nouveau plus qu'à lui faire l'amour à nouveau, elle sembla lire dans ses pensées (à moins que tout simplement son corps ne frotta "accidentellement" contre son sexe à nouveau en érection) car d'un mouvement rapide elle se retrouva à califourchon sur lui, imposant d'elle même la cadence à son amant. Les mains posées et arrondies d'elle même autour de ses seins, il la regarda faire, le souffle court, savourant chacun de ses mouvements, elle semblait prendre elle aussi un plaisir évident à la chose... sur ce point ils étaient donc parfaitement en phase, une véritable chance d'avoir rencontré une fille comme elle, si belle, au caractère tellement riche, tantôt la jeune fille si timide, tantôt beaucoup plus assurée, Mélina en savait quelque chose... et lui aussi s'en rendait compte en ce moment. Il en était à ces considérations lorsqu'au comble de l'excitation Stellie le mena vers son deuxième orgasme de la journée...

Aprés un nouveau break, Stellie émit l'hypothèse que la table située au milieux de l'atelier ferait un excellent support pour leurs rapports, Nitneuc le vérifia en soulevant les fesses de sa partenaire jusqu'au rebord, elle enserra ses jambes autour des siennes et ils recommencèrent pour la 3e fois de la soirée, plus longtemps cette fois, l'effet de précédentes relations se faisait clairement ressentir... les cris se prolongèrent jusque tard dans la nuit.

(Je tiens à dire que tout est vrai.
qu'il n'invente pas que ce rp a bien été joué à l'identique).

depuis chaque jour les amoureux teste l'atelier sous toute les coutures les cris resonnent cela en devient indécent pour les autres enfin je suppose mdr

Et quand il vont chercher de l'eau ils font ca dans la boue mdr

Tant que vous occupez pas les douches, ça me va

Et pensez quand même aux ch'tits n'enfants comme Groneunoeil qui essaye de dormir et qui entend de drôles de bruits

*saute de joie* LES DOUCHES !! mon ange viens on a pas visiter !!

En arrivant devant les douches Stellie eut la mauvaise surprise de voir que une personne y était.(malgré la ration d'eau !!)
Elle revient un peu plus tard et c'etait la même. Alors elle passa un long morceau de miroir histoire de voir qui pouvait l'embeter à cette heure.

Quelle ne fût pas sa surprise de voir collision entrain de EUh...la cochonne !!

Rouge pivoine et verte car si Mel arrivait par là elle aurait cru que...

Vite elle se releva, glissa à cause de la marre savoneuse et tomba sur les fesses AIE AIE !!

Avertissement :



Aprés l'épisode de la visite du troupeau de Vrills par Grosoeil, le couple eut besoin de se retrouver seuls...
Pffiou, je commençais à en avoir marre de rester avec Grosoeil et tous les autres... commença t-il en lui jetant un regard plein d'envie.
J'ai envie de toi depuis qu'on est sorti de la communauté pour aller soit-disant "chasser le vrill", mais il faut reconnaître que ça manquait d'intimité. Tu me suis dans l'atelier ? On s'isole quelques heures rien que tous les deux ? Continua t-il impatient. Je suis sûr que tu as encore plein d'idées, d'ailleurs je veux bien qu'on utilise tes trucs, montre moi juste ce que tu voulais en faire...

C'est vrai ? Répondit-elle joyeuse.
Regarde, c'est ce que m'a offert Collie. Stellie sortit le fouet et les menottes.
Faut que tu m'attaches avec ça, lui dit elle sous ses yeux médusés, avant d'ajouter, ensuite tu m'arraches mes vêtements et tu me violes, d'accord ?
...
Il la regarda d'un air atterré.
Euhh, je dois t'attacher, te flageller avec ça et te..., enfin... ça veut dire que tu n'es pas consentante ?
Elle le regarda comme le dernier des idiots, ce qu'il était d'ailleurs sûrement à l'instant présent, cela se passait de commentaires. Il comprit.
Ok, ok, je te l'ai promis aprés tout... je vais faire un effort...

Stellie sortit également un autre ustensile de son sac, une sorte de lanière de cuir fixée à un morceau de bois sphérique.
Et il faut aussi que tu me baillonnes avec ça. Ca fait partie du jeu et sinon les cris dérangeraient les voisins...
Ah... bon, ça promet... répondit-il dubitatif. Puis il s'exécuta, serrant les lanières de cuir derrière le crâne de sa compagne de façon à ce que la pièce de bois lui obtrue complétement la bouche. Il avisa une fine poutre basse, horizontale, qui renforçait la tenue du toit (il n'y a pas de plafond à proprement parler dans la fabrique, tout au plus quelques tôles supportée par une charpente de fortune). Il l'entraina par les bras jusqu'à cette dernière et les lui attacha à l'aide des menottes de façon à ce que qu'ils soient maintenus en l'air de part en part de la poutre. Ainsi liée, le jeu allait pouvoir commencer...

Attrapant fermement le débardeur de la jeune fille conformément à ses instructions, il l'arracha sans difficulté de quelques mouvements brusques, découvrant son dos nu, simplement traversé par les bretelles de son soutien-gorge. Pour le pantalon, il se contenta de le faire glisser le long de ses jambes interminables pour lui ôter, les tissus étaient rares sur Pandora et la pauvre risquait de se retrouver à court de vêtements en continuant ainsi. C'est à ce moment qu'il se rendit compte que la peau des Vrills n'avait pas simplement servi à fabriquer des ustensiles douteux... Stellie était tout simplement à croquer dans ses sous-vêtements de cuir, le jeune homme sentit rapidement remonter l'excitation qui l'avait quitté peu avant. La sentir si vulnérable et si désirable à la fois était une tentation irrésistible. Elle le regarda avec un air faussement apeuré, ses yeux brillants d'excitation exprimaient le contraire. Bien plus que son partenaire, elle semblait clairement se prendre au jeu...

Nitneuc se saisit du fouet à lanières, le regardant avec une moue de désapprobation. L'idée de la frapper avec ça, même si cela faisait partie du scénario lui était clairement déplaisante. Sans la moindre conviction il porta un premier "coup", le cuir effleura à peine les fesses de la jeune fille, celle-ci se retourna alors et lui lança un regard furieux. "Tu ne joues pas dans les règles" lu t-il dans ses yeux. En réponse il assena un coup beaucoup plus vigoureux, on devinait cette fois le trajet des lanières sur la peau... elle émit aussitôt un petit cri immédiatement étouffé par le baillon. Se retournant à nouveau, elle l'encouragea d'un clin d'oeil discret. Il répéta alors le mouvement, encore... et encore... et encore... pour une bonne vingtaine de fois, rythmé par les plaintes sourdes de Stellie et les claquement secs du cuir sur ses jolies fesses rougies ainsi qu'une joue giflée par une froide journée d'hiver... il s'arrêta enfin, mi-honteux, mi-excité par ce qu'il venait de faire. Une nouvelle fois la jeune fille tourna la tête et d'un signe de tête l'invita à passer à la suite. La partie la plus alléchante s'il en est...

En quelques manipulation désormais connues car maintes fois répétées, le string et le soutien gorge en cuir de Vrill volèrent à l'autre bout de la pièce, laissant Stellie sans autre ornement que le baillon et les menottes qui lui maintenaient les bras en l'air. Le jeune homme placé juste derrière elle, s'étant lui aussi dévétu enroula ses bras autour d'elle en commençant à la "violer" et se surprit et choqua lui même à lui sussurer des obscénités à l'oreille dans le feu de l'action, tandis qu'elle simulait ses inaudibles gémissements de protestation.
Ca te plaît salope ? C'est bien ce que tu voulais, hein... ?
Plusieurs minutes plus tard ses plaintes que contredisaient des trémoussements de plaisir mal contenus à chaque va-et-vient, se muèrent en quelque chose de beaucoup plus suggestif, accompagnés de spasmes qui ne laissait aucun doute sur ce qui était en train de la traverser...


Avec le recul il était bien forcé de reconnaître à contrecoeur que l'idée lui avait réellement plu...

(oh my gode, Stellie est encore pire que ma femme)

Ca, c'est à prouver
Et on a encore un mois pour le vérifier

c'est de ta faute collision car nous on est innocent avec nitneuc on fait que tester les jouets que tu m'a offert
faut pas oublier qu'on est des artistes scientifiques

J'en ai d'autres en réserve
Passe un jour à la boutique